http://www.youtube.com/watch?v=LyqzWm8pXNw&feature=share&list=PL9D0DF88DBA65AE06

lundi 26 novembre 2012

Google, monopole ou avant-garde?


      Il y a près de 15 ans, Google voyait le jour en tant que moteur de recherche. À cette époque, il avait quand même deux adversaires de taille (AltaVista et Yahoo!) qu'il a détrôné assez rapidement dès son arrivée. Qui aurait cru qu'un simple moteur de recherche deviendrait à la fois une des marques les plus reconnue mondialement mais également un des joueur le plus important et parmi les plus avant-gardiste du milieu numérique et technologique.

        Aujourd'hui Google est sans contredit une des marques les plus connues et la plus en évolution. Nous sommes constamment en contact avec la marque par l'entremise d'un de ses produits, que ce soit le moteur de recherche, Gmail ou son réseau social Google+.

Monopole ou avant-garde ?

        Malgré la réalité que Google prend d'assaut une grande partie de la recherche et du développement au niveau technologique et qu'il est assez puissant permettre ces avancées dans le milieu, on peut parler d'un monopole au niveau du moteur de recherche plus précisément. Google a son lot d'enquêtes et de contestations qui protestent justement le monopole qu'il a sur la toile. Toutefois, si nous regardons au niveau technologique, d'autres joueurs importants ont une grande place sur la scène. C'est toujours intriguant de savoir quelle sera la prochaine révolution technologique à voir le jour, autant du côté de Google que pour les autres joueurs tels qu'Apple et Microsoft. Les nouvelles concernant les expériences, les nouveaux prototypes ou les nouveaux produits mis en place par ces géants ne cessent de remplir nos fils d'actualités.

        Google a par ailleurs une petite longueur d'avance avec son petit dernier, les Smart Glasses de Google qui font énormément jaser depuis quelques temps et c'est près du summum de ce que nous pouvions imaginer en terme d'avancée technologique. Lorsque j'ai vu que plusieurs étudiants (Vanessa Gosselin-Grenier, Melissa Lapierre-Grano et Sophie Beique) avaient écrit sur ce produit et que la vidéo YouTube avait été vues plus de 18 millions de fois, j'ai compris que notre société est à la fois intriguée et curieuse par les nouvelles technologies et les innovations dans le milieu. Quand nous sommes au stade où nos yeux et notre voix contrôlent presque tout ce qui nous entoure et que les appareils auxquels nous sommes habitués disparaissent, on se demande soudain quelle sera la prochaine étape ou encore quel sera le prochain produit qui nous permettra d'économiser plus de temps et d'être complètement subjugué par la technologie.

        À la question si Google a un monopole ou est avant-gardiste, je répond oui au deux. D'un côté Google a le monopole au niveau de la recherche et des résultats qui nous sont présentés c'est bien vrai. De l'autre, c'est en effet un des joueurs les plus importants dans le développement et les innovations technologiques mais la compétition existe de ce côté, beaucoup de joueurs, même les plus petits sont de plus en plus présents à ce niveau. À voir maintenant qui réussira à sortir le prochain produit révolutionnaire. Les paris sont ouverts!



dimanche 18 novembre 2012

Comment le surplus cognitif transforme les individus en collaborateurs et créateurs de contenu?

Lors du dernier RV Web qui a eu lieu en avril passé, Clay Shirky était le conférencier probablement le plus attendu de l'événement. J'ai eu la chance d'assister à sa conférence sur L'impact du web sur l'avenir des sociétés que j'ai trouvé fort enrichissante. Je me suis donc intéressée par la suite à ses ouvrages, dont un que j'ai choisi dans le cadre du cours. 
Le livre COGNITIVE SURPLUS : How technology makes consumers into collaborators a été publié en 2010 et les critiques ne sont que positives à son égard. 


Comme le titre le suggère, le surplus cognitif, qui fait référence a une abondance de connaissance et la soif d'apprendre, est l'élément déclencheur de cet ouvrage. Clay Shirky part donc du principe que les individus possèdent des connaissances, des intérêts ou encore des expériences qui leur sont propres ainsi qu'une volonté d'échanger et de socialiser. Il nous présente comment, dans l'ère actuelle, chaque individu peut contribuer à enrichir ou encore maximiser notre valeur en tant que société. Il met l'emphase plus précisément sur comment l'avènement des technologies, surtout les réseaux sociaux, a permis de mettre à profit et de capitaliser sur cette volonté individuelle d'interagir. il nous démontre concrètement, par des cas bien précis où l'impact obtenu aurait été réduit ou n'auraient tout simplement pas eu lieu sans ces innovations technologiques que nous connaissons aujourd'hui. 

Il fait d'abord une introspection sur ce que représente les technologies, précisément les réseaux sociaux dans notre société et comment elles sont maintenant partie intégrante de notre vie. Dans la plupart des pays développées, les individus vivent avec le web, l'Internet, les réseaux sociaux, c'est de plus en plus naturel pour la majorité de la population d'interagir et d'échanger sur ces plateformes. Nous sommes entourés d'une multitude d'opportunité sociale d'échange et il met l'emphase sur la simplicité de la chose. Il n'y a plus de barrières pour s'exprimer et l'accès à l'information est de plus en plus facile. 

Dans une réalité où nous sommes constamment sollicités et que les gens sont davantage occupés nous prenons tout de même le temps de publier sur un blogue ou de partager des liens intéressants avec nos amis. Pourquoi? Le tout se traduit dans notre besoin individuel d'accomplissement de soi, d'appartenance à un groupe et de sentir que nous jouons un rôle dans cette société plus qu'interactive où compétence, expérience et statut social se côtoient. Le fait de participer et de s'exprimer nous permet de prendre position et de faire sa place dans son réseau social. Cela nous permet de profiter des réactions des autres par rapport à nos contributions, d'échanger sur des sujets communs, de trouver les informations recherchées, et ainsi, situer notre valeur dans ce monde, tantôt virtuel, tantôt réel. 

Si nous comprenons la place qu'occupe les technologies dans notre société et que nous avons la motivation pour y contribuer, il suffit maintenant d'avoir les occasions pour s'y adonner. Une multitude d'occasions gravitent autour de nous et il suffit simplement de pouvoir en prendre connaissance et les exploiter. Chaque initiative est née d'une occasion qui a été saisie et articulée par un individu. Clay Shirky stipule que chaque génération a son lot d'opportunités et que chacune a su les exploiter selon les moyens en place à l'époque. La génération actuelle possède une culture très sociale et par défaut les gens exploitent les opportunités plutôt en groupe qu'individuellement, ce qui accentue l'aspect sociale de notre société. 

Clay Shirky consacre la fin de son livre a un How to où il nous partage son savoir pour ainsi augmenter les chances que les individus réussissent à utiliser leur surplus cognitif et ainsi saisir les occasions pour l'exploiter et en faire une nouvelle initiative sociale dont la société pourra profiter, c'est l'objectif principal de ce livre, que je recommande si c'est un sujet qui vous intéresse. 

Bonne lecture!

samedi 27 octobre 2012

La télé sociale, un phénomène grandissant.

         
Famille devant la télé dans les années 50 Depuis les dernières années, le concept de télé sociale se retrouve souvent au cœur des discussions et des recherches sur l'avenir de ce média. Ce qu'il faut d'abord comprendre est que la socialisation autour des contenus de la télévision a toujours existé mais ne se présentait pas de la même façon. Dans les débuts, les familles interagissaient et discutaient devant leur écran en groupe, c'était une activité en soi que de regarder la télévision ensemble. 


Maintenant, la télévision sociale intègre la réalité des réseaux sociaux, du contenu sur mesure, du contenu produit par les utilisateurs, d'un système de recommandations ou encore d'une programmation personnalisée, bref, le concept s'est adapté à notre réalité et nos exigences en tant que consommateurs.


Œuvrant dans le milieu de la télévision, j'essaie d'être à l'affût par rapport à tout ce qui entoure l'avenir de la télé de près afin d'anticiper les réactions du marché et des compétiteurs, de suivre les façons dont les gens consomment de la télé, de comprendre le rôle des réseaux sociaux, le tout dans l'unique objectif de conserver le téléspectateurs intéressé par le contenu que nous avons à lui offrir.
Télévision sociale avec logos des réseaux sociaux
J'ai récemment lu une recherche* produite par TVguide.com sur l'utilisation de la télé sociale. J'étais surprise de constater que l'engouement social autour d'une émission a incité 17% des gens à débuter l'écoute de celle-ci et 31% à continuer de l'écouter. Ces chiffres sont révélateurs par rapport à l'impact des réseaux sociaux pour les contenus. 


des gens commencent à regarder une émission
grâce aux réseaux sociaux
des gens vont continuer à écouter une émission
à fort caractère social 
Il faut savoir qu'environ 86% des téléspectateurs américains utilisent leur téléphone intelligent lors de l'écoute de la télé**. Connaissant ce chiffres, l'étude de TVguide.com ressort que 49% des gens qui écoutent une émission avec leur appareil intelligent discutent de l'émission, c'est presque la moitié.

Nous ne pouvons dons pas ignorer ces chiffres lorsque vient le temps de produire et diffuser du contenu télévisuel, nous nous devons d'ajouter une composante sociale ou encore des contenus complémentaires accessibles via les appareils mobiles pour ainsi permettre au téléspectateur non seulement d'écouter l'émission mais de s'y imprégner.

C'est un tournant important qu'est en train de vivre le milieu télévisuel, les modes de consommation de contenu varient et il faut savoir orienter nos stratégies et nos développements pour accueillir cette réalité. La demande est grandissante, le marché est sensibilisé et ce phénomène est sans contredit en pleine expansion.

* Source: TVGuide.com Social Habits User Survey, February 2012; 3,041 Participants


vendredi 26 octobre 2012

Facebook: L'importance de comprendre les objectifs et de bien mesurer les impacts : PARTIE 2


Partie 2 : Les mesures


Facebook nous offre un système de données de base assez intéressant. À partir de Facebook Statistiques, nous pouvons avoir un portrait global de cette valeur en regardant les données associées aux publications qui nous importent et les données présentées sont assez concrètes. (Voir la liste des publications dans le bas de la page des Statistiques)

  • Utilisateurs engagés : Nbre de clics
  • Personnes qui en parlent : Nbre de partage, de commentaires et de J’aime
  •  Viralité : % représentant la viralité qu’a eu votre publication par rapport aux personnes qui en ont parlés.  
Ces données sont faciles à comprendre surtout pour les gestionnaires, c'est donc concret pour eux et le portrait est global en un seul coup d’œil.

Nous pouvons pousser la note et obtenir des données plus structurées, nous pouvons mesurer l’efficacité et la valeur d’une page Facebook pour une marque en se basant sur 3 indicateurs de performance:

1.       Taux de conversation (Conversation rate)
a.       La mesure : nbre de commentaires sur une publication
2.       Portée (Amplification rate)
a.       Le mesure : nbre de partage sur une publication
3.       Taux d’appréciation (Applause rate)
a.       Le mesure : nbre de J’aime sur une publication

On peut alors déterminer quelles publications ont une valeur ou quel type de publication suscite le plus de partage ou le plus de commentaires. Il existe un outil en ligne nommé True Social Metrics pour analyser les données des réseaux sociaux et de voir les impacts des publications

Voici le tableau résultats

source: True Social Metrics

Ceci permet alors de mettre les efforts nécessaires sur les types de publications qui fonctionnent le mieux. Cet outil fournit les moyennes des trois mesures présentées ci-haut. Il suffit de connecter son compte Google Analytics et d'y associer les comptes  désirés. C'est possible d'avoir les données pour Twitter, Facebook, Google +, un blogue, Youtube, Pinterest et Linkedin. C'est intéressant de suivre l'évolution aussi de semaine en semaine.

Une fois que nous avons recueilli les données, l'important est de pouvoir faire le lien avec l'impact sur les pages de destination, soit de nos sites ou de nos blogues. L'analyse de l'achalandage est une partie importante et nécessaire pour permettre une bonne compréhension des impacts que les réseaux sociaux peuvent avoir sur nos propriété web. L’ascension des réseaux sociaux comme source de trafic est un bon indicateur de la proportion de l'achalandage de nos sites occasionné par ces derniers. 

À retenir:
- Suivez vos statistiques régulièrement, les outils sont conviviaux et simples à comprendre
- Concentrez-vous sur les principales mesures
- Utilisez les outils à votre disposition, ex: True Social Metrics
- Comparez avec les données de votre site et mesurer les impacts des réseaux sociaux sur votre achalandage. 

Bonne chance !

dimanche 21 octobre 2012

Facebook: L'importance de comprendre les objectifs et de bien mesurer les impacts: PARTIE 1


Partie 1 : Les objectifs


Facebook est devenu un outil de communication de plus en plus utilisé par les marques dans leurs initiatives marketing. Il est facile pour ces dernières de penser que d'avoir une présence sur ce réseau est un incontournable étant donné son ampleur. Or, il faut d'abord se questionner sur la pertinence d'y être et bien déterminer quels sont les objectifs d'affaires derrière nos initiatives sur ce réseau social. J'ai récemment lu un article à ce sujet que j'ai décidé de résumé en deux billets, voici donc la première partie. 

L'auteur explique, entre autre, qu'une fois que les marques ont bien déterminé leurs objectifs, il faut impérativement mesurer les efforts et les impacts qui en découlent, le tout dans l'unique but d'optimiser leur présence pour arriver à des résultats satisfaisants. C'est une étape importante que nous négligeons parfois.

L'auteur compare entre autre Facebook à la publicité traditionnelle et comment il ne doit pas être considéré de la même façon et n'atteint pas les mêmes objectifs, ce que les marques oublient souvent.

À savoir en premier lieu, les objectifs principaux reliés à Facebook

  • Engagement et interactions des communautés,
  • Exposition à la marque (notoriété)
  • Présence en ligne qui suscite de l’achalandage sur les sites web (canal de communication)

L’argent et les efforts dépensés sur des initiatives 
publicitaires avec Facebook serviront, dans un premier temps, à bâtir une communauté. Une fois la communauté attentive et impliquée, elle engage par la suite avec la marque, ce qui donne une visibilité pour cette dernière et crée ainsi de la notoriété. La marque obtient donc plus de visibilité, ce qui incite à l’achalandage sur son site où l’offre globale de la marque s’y trouve. La communauté prend alors de la valeur et les membres deviennent qualifiables. Ils adoptent la marque et en parleront alors à leurs amis. C'est dans cette équation que Facebook y trouve une valeur ajoutée.

Facebook influence positivement le retour sur investissement car 

  • C’est une plateforme qui appartient à 100% à la marque, elle en fait ce qu’elle veut quand elle veut. Les mises à jour se font au rythme de la marque et par le nombre de ressource nécessaire.
  • C’est un outil de communication à faible coût qui permet de clarifier les messages, de gérer les crises, de promouvoir les produits, les services, les offres, les concours ou tout autre message important.
  • C’est une plateforme utilisée pour faire du service à la clientèle et ainsi répondre aux questions rapidement.

Une fois que les marques auront pris connaissance de cette première étape qui est de bien comprendre les objectifs relatifs à Facebook, les initiatives pourront être mises en place adéquatement pour assurer de bien mesurer ces dernières. À partir des résultats obtenus découlera une analyse qui permettra d'optimiser les initiatives sur Facebook. Le prochain billet portera sur les outils de mesures pour arriver à analyser et comprendre nos résultats. 

lundi 15 octobre 2012

On veille tard

Ah la fameuse veille stratégique, c'est souvent beau en théorie mais dans les faits, c'est pas toujours évident avec l'immense bassin de nouvelles qui se présente à nous. Faire de la veille stratégique fait partie de mon mandat actuel et j’essaie constamment d'optimiser mes techniques afin d'être le plus optimale possible. Quelques pistes que je partage avec vous.


Premièrement, vous devez être conscient qu'il vous sera impossible de TOUT savoir sur TOUT. Concentrez-vous sur vos priorités d'actualité et recevez en conséquence ces nouvelles. Vous devez également déterminer un temps dans votre journée qui est dédié à la veille, vous devez organiser votre horaire en conséquence pour vous assurer de le faire, sinon ce sera toujours la tâche qui sera remise à demain.

Plusieurs outils existent pour vous permettre de regrouper à un seul endroit les flux RSS de vos sites, blogues ou acteurs principaux du milieu. FeedDemon, Mozilla Firefox, Netvibes, Feedly (pour les mobiles), entre autre.

Pour ma part, j'utilise le classique Google Reader qui se connecte avec votre compte gmail et est lié à plusieurs outils proposés par Google. Il est facile d'importer des liens RSS et tous les réseaux sociaux y sont connectés pour vous permettre de partager via vos comptes préférés. Je complète ma lecture et ma veille avec l'outil Pocket qui est l’agrégateur des nouvelles que vous avez trouvez intéressante pendant votre période de veille et qui vous permet de structurer le contenu. 

Pour ceux qui s'intéresse au milieu web et technologique, je vous partage quelques-uns de mes liens préférés et qui sont souvent les plus à jour dans les dernières nouvelles du domaine. J'apprécie les interventions et articles d'influenceurs tels que 
Tim O'Reilly
Clay Shirky
Vincent Abry,  
Tim BernersLee
Seth Godin 

et au Québec, 

et je demeure connectée, entre autre, sur les fils RSS des blogues et sites tels que 

Tech Crunch,  
Mashable
Lost remote
AccessOWeb
Forbes
Social MediaToday
SEO Land, 
Adviso

Et vous, quels sont les outils de veille stratégique que vous priorisez ?

dimanche 14 octobre 2012

Heureuse de vous rencontrer!

Bonjour et bienvenue sur mon blogue et mon premier billet! 

Tout d'abord, je fais les présentations... 

Diplômée d'un bachelier en communication de l'Université de Montréal depuis 2 ans, j'ai décidé de poursuivre mes études en communication appliquée afin d'approfondir mes connaissances et m'assurer une formation adéquate. Œuvrant dans le milieu de la publicité et du web depuis plus de 8 ans, je cumule une expérience variée qui m’a permis d’acquérir plusieurs notions au niveau de la gestion, de la production, du conseil et de la stratégie.

J'ai débuté dans le milieu de la publicité chez Publicis Montréal et j'y suis demeurée pendant plus de 4 ans pour ensuite passer du côté de Sid Lee où j'ai travaillé avec des clients tels que MGM Resorts, Red Bull, Loto-Québec, SAQ et Belair Direct pour lesquels j'assurais le bon déroulement de la mise en production des projets web et la gestion des réseaux sociaux selon les meilleures pratiques.

Je suis présentement à l'emploi de TVA Interactif, division web chez Groupe TVA où j'occupe un poste de productrice web pour les chaînes spécialisées telles que CASA, Mlle, Yoopa, Prise 2 et addik TV. Mon rôle est principalement d’accompagner les équipes des chaînes spécialisées dans le développement de la stratégie web et la réalisation des différents projets multimédia. 


Mon objectif premier est de continuer mon évolution dans le milieu de l'interactif et de mettre en application toutes les notions acquises dans le but de proposer une offre globale multi-plateformes aux marques désirant débuter ou continuer sur la voie du virage technologique. 

Assez parlé de boulot, même si c'est le web occupe une grande place dans ma vie, je la partage aussi avec le sport et les voyages qui demeurent des incontournables pour évacuer le quotidien. Je pratique entre autre le vélo, la course à pied, le Ultimate Frisbee et le Kitesurfing, ce qui me permet de garder la forme, autant physique que moral.

Je vous invite à me suivre par ici :